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Féminisme et VIH

Dernière mise à jour : 19 oct. 2021

Nous avons pu constater, que l’apparition du néo-féminisme, coïncide avec l’apparition du SIDA. Ce n’est pas du tout une coïncidence. Chaque période du féminisme, correspond à un évènement qui a marqué l’humanité des temps modernes. Le féminisme du XIXe siècle, correspond à l’industrialisation. Il fallait libérer la femme, qui devenait elle aussi, de la main-d'œuvre pour les usines, et pour une modique somme pouvait être corvéable à souhait. C’était le début de l’histoire de la femme en tant que consommatrice. C’est son pouvoir d’achat qui a séduit, et c’est d’ailleurs cette raison qui a poussé plus tard, l’industrie du tabac à manipuler la femme, en introduisant l’idée qu’elle se libérerait en fumant. Ce n’était pas le cas dans l'élite et la grande bourgeoisie, Puisque la femme y était plutôt idolâtrée. Le féminisme des années soixante-dix, correspond évidemment avec l’arrivée de la pilule. Enfin, on pouvait faire l’amour sans avoir d’enfant, ce qui donne l’envie de libération sexuelle, et de libération, tout simplement. Il y a bien sur une corrélation avec l’avènement de la technologie, ce qui a donné l’occasion aux femmes de pratiquer des métiers uniquement réserve aux hommes auparavant. Le féminisme des années 90, qui a réellement pris son envol dans les années 2000 avec le néo-féminisme, apparaît en même temps que le SIDA. Le concept du couple avait déjà depuis une dizaine de milliers d’années, contribue au contrôle de la sexualité masculine. Ce contrôle avait beaucoup perdu de force dans les années 70, mais la morale restait aux aguets, et la grande bourgeoisie, restait un peu à l’abri de la révolution sexuelle. L’argent a pris la place des phéromones. Le sida des années 90 fut le coup de grâce pour la sexualité masculine, et apporta des armes au contrôle des hommes. La morale et le SIDA, qui maintenant coupe plus l’homme que la femme, par l’utilisation de préservatifs, d’une réelle sensation, et d’une réelle sexualité instinctive. Je note le refus des femmes d’utiliser le préservatif féminin, en effet ce type de préservatif, coupe totalement les femmes de sensations, et de toutes façons, le plaisir de l’homme n’a plus d’importance. Cela va contribuer à ce qu’appellent et vénère les néo-féministes, la déconstruction de l’homme. Il lui ait interdit, d’avoir une domination sexuelle, qu’il pouvait plus ou moins compenser avant, il ne peut plus avoir de relation extra-conjugale sous peine de préservatif et de relation insatisfaisante, il se voit humilie par la difficulté d’utiliser un préservatif au moment de l’excitation et humilier par la perte d’érection due à la perte de sensation. Ceci va évidemment conduire à des pratiques sexuelles nouvelles, mais aussi à une multiplication de l’homosexualité masculine, et aussi amener de nouveaux comportements très appréciés du mouvement LGBT plus. Cela va implacablement amener ce qu’appel certains penseurs modernes “la féminisation de la société”, de quoi donner du regain à nos néo-féministes. Le néo-féminisme, finalement, criminalise le désire de l'homme. Le point commun à tous ces féminismes, c'est l’individualisme des femmes, et l'ultra sacralisation d’elles-mêmes. Reprochant un jour, trop de virilité, et l’autre jour pas assez, a leurs compagnons. Le mâle autoritaire qui obligerait violemment sa femme à rester dans la cuisine n’est pas inscrit dans nos comportements, la phallocratie et le machisme est le résultat du conditionnement et de perte de la domination sexuelle masculine, souvent appuyée par les femmes elles-mêmes.


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